Le gouvernement propose de faire porter le coût de la « suspension » de la réforme d’une part sur les retraité·es dont les pensions seraient encore davantage sous-indexées, par rapport à l’inflation et d’autre part sur les organismes complémentaires d’assurance-maladie, qui vont répercuter le surcoût sur leurs adhérent·es. C’est inacceptable !