Il est aujourd’hui urgent de reconnaître ce métier comme un métier à part entière et de conforter les AESH dans leur rôle au service de la société. Cela ne peut passer que par la création d’un corps de fonctionnaire. Il faut que l’État prenne ses responsabilités en offrant aux AESH un véritable statut leur permettant de bénéficier d’une reconnaissance de leurs missions et d’accéder à de nouveaux droits (carrière, rémunération statutaire, concours de recrutement, formation, mobilité).